Par Sylvain GILORY
La courbe de niveau, langage universel des géographes, mais aussi des voyageurs, devient là, un simple alphabet, un matériau d’abstraction. Ni couleurs, ni nature, ni paysages, mais comme permanence de mon travail le mouvement, du moins l’instantané que représente ici la courbe tracée par le géographe, figeant ainsi des temps géologiques.